Rue de la Forge
Elle conduit, en haut de la rue, à une ancienne forge, qui a fonctionné jusqu’en 1968, exploitée par M. André Voisin.
Route de la Grand Mare
Mène à l’étendue d’eau du même nom, située à gauche de la route menant à Trenal.
Rue Meix des Claviers
Le mot meix pouvait désigner une manse (habitation d’un cultivateur avec la surface de terre nécessaire pour le nourrir) ou plus simplement une terre à blé ou un jardin clos. Clavier est un nom de famille toujours présent dans la commune.
Chemin Moineau
Elle longe une propriété anciennement habitée par la famille Moineau.
Rue et montée du Moulin
Cette appellation rappelle tout simplement la présence passée d’un moulin activé par un canal dérivé de la Sorne, qui existe encore à l’est du village, juste à côté de l’entreprise Roux, puis est couvert et passe à l’intersection de la rue et de la montée du Moulin, avant de rejoindre le lit de la Sorne.
Route de St-Georges
Conduit à Saint-Georges, ancien village devenu hameau de Frébuans.
Cour St-Vincent
Il semble qu’ait existé sur cet emplacement, au Haut Moyen-âge, un monastère bénédictin dédié à St-Vincent ; les religieux qui l’habitaient l’auraient quitté pour Baume-les-Messieurs vers les X-XI èmes siècles. Une partie de cette voie se trouve sur des parcelles privées.
Rue Prosper-Sordet
Né à Frébuans en1842, issu d’une vieille famille frébuanaise, il quitta le village très tôt et vécut à Paris où il connut une réussite certaine qui lui permit de financer, par un don substantiel, l’implantation de fontaines dans le village et la construction du réseau nécessaire pour les alimenter.
Il est décédé en 1910 à Paris.
Rue et impasse Sous Charnet
du nom d’un lieu-dit situé entre le lotissement créé au début des années 1970 et la route de Trenal.
Rue des Vignettes
Elle était bordée de petites vignes.
Chemin de la Vouivre
Le mot désigne un lieu humide. La Vouivre est aussi un personnage présent dans de nombreuses légendes, une sauvageonne très belle qui vivait dans des marais, portant une escarboucle (rubis) sur le front et protégée par des serpents de la convoitise qu’elle inspirait. Marcel Aymé lui consacra un roman.