Rue des Bois de Reine
Conduit au lieu-dit Bois de Reine (référence au prénom d’une propriétaire ?), mais appelés autrefois Bois de Renne ou de Rennes.
Rue du Calvaire
A son entrée, on voit une croix appelée abusivement calvaire, située à l’origine en face du lavoir.
Rue du Château d’Eau
Ce nom évoque le château d’eau construit en 1932 qui servait à l’alimentation en eau du village sur la partie la plus haute de celui-ci. N’étant plus en service, il a été dynamité en 2002.
Rue des Clusiaux
Evoque le lieu-dit des Clusiaux. Le mot clusiau désignait un petit jardin clos.
Rue du Commandant-Foucaud
Cette rue rend hommage au chef des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI) du Jura qui, hébergé au “château” de St-Georges, prit la fuite au moment de l’irruption de SS et de membres de la Gestapo, mais fut abattu à proximité (26 avril 1944). Une stèle qui y rappelle son souvenir, est le lieu d’une cérémonie commémorative chaque année fin avril.
Rue des Condamines
Référence à un lieu-dit. Des Condamines étaient des terres appartenant à un seigneur local. Le mot pourrait aussi dériver de conda, confluent de deux rivières.
Chemin des Damas
Du nom d’une famille qui habitait là. Ce chemin figure aussi parfois sous le nom de chemin des Dames, appellation qui pourrait s’expliquer par la présence, à une époque lointaine, de religieuses à son terme.
Rue Désiré-Barodet
Né en 1823 à Sermesse (71), ce personnage, à la vie très riche, a été l’objet d’une conférence en 2009 à Frébuans. Instituteur en 1842 à Frébuans (où il se maria en 1844), il a été par la suite Maire de Lyon en 1872, puis député de Paris (de 1873 à 1896), enfin sénateur de Paris (1896-1900). Il est décédé à Vincelles en 1906.
Rue des Fontaines
Elle doit son nom aux deux fontaines qui s’y trouvent selon le souhait de Prosper Sordet qui habitait cette rue (voir article consacré à la rue Prosper-Sordet).
Rue en Sus Boirier
Boirier viendrait du nom d’une ancienne famille locale Poirier, lui-même dérivé de Boyrie ou Poyrie.
Rue Eugène-Robelin
Né en 1870 à Frébuans, mort en 1939, il pratiqua le commerce à Port-au-Prince (Haïti) et fit beaucoup de dons à la commune, dont celui de l’horloge située au-dessus de l’école.